Quatre blagues et humour tornade de mélangeur de pièces
Jure que
Karl va se marier. En convenant d'une date de mariage avec sa fiancée, Karl a dit à sa fiancée : "Tu jures, avant de m'épouser, tu n'as jamais eu d'homme, n'est-ce pas ?" ." Deux filles. \"
Duel
Klaus rentra chez lui et trouva sa femme en train de s'embrasser avec son ami Ferdy.
\"Ferdi"tornade de mélangeur de pièces, dit calmement Klaus, "tu es là pour t'amuser ? Je veux me battre en duel avec toi."
Dans la pièce voisine, Klaus a sorti deux armes, en tendit un à Ferdi et dit :
\"Écoutez, tirons en l'air ensemble, puis tombons au sol et faisons semblant d'être morts. Voyons d'abord à qui ma femme tient. , celui qui peut l'avoir est-ce juste, n'est-ce pas ?"
Ferdi était d'accord. Après deux coups de feutornade de mélangeur de pièces, la femme de Klaus s'est précipitée dans la pièce et a vu les deux personnes immobiles sur le sol. Elle a ouvert la porte du balcon et a crié :
"Walter, entre vite, ça va être génial." tout d'un coup !"
La méthode n'est pas la bonnetornade de mélangeur de pièces
Le marché fermier, un Le vendeur tenait une brosse à dents ordinaire à la main et a crié fort :
"S'il vous plaît, achetez une brosse à dents automatique. Tenez simplement la brosse à dents avec votre main et elle vous brossera automatiquement les dents. Le prix n'est pas cher, seulement 5 cents. chacun!"
Un curieux en a acheté un et l'a mis dans sa bouche sur-le-champ. Ne le voyant pas "automatiquement"tornade de mélangeur de pièces, il a demandé au vendeur.
Le vendeur a déclaré : "La méthode que vous utilisez est incorrecte. Vous avez raison de garder vos mains immobiles, mais votre tête doit osciller de haut en bas, de gauche à droite !"
Appeler la police
Tard dans la nuit, le policier Robert en service a reçu un appel d'alarme. L'appelant a affirmé se trouver dans le 13ème arrondissement. Après être sorti de la discothèque, il a constaté que le volant, les freins, l'accélérateur, etc. de sa voiture avaient été enlevés par le voleur.
Robert a dit qu'il se rendrait immédiatement sur les lieux de l'accident.
Juste au moment où il démarrait la voiture de patrouille et était sur le point de repartir, le téléphone sonna à nouveau et Robert dut sortir de la voiture et décrocher à nouveau.
L'appelant était toujours la personne qui avait appelé la police tout à l'heure. Il a dit : "Je suis vraiment désolé, monsieur, vous n'avez pas besoin de venir. J'ai trop bu et un vent froid vient de souffler. maintenanttornade de mélangeur de pièces, et j'ai réalisé que j'étais assis dans la deuxième rangée de sièges de la voiture. "
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